Accompagnement du deuil à Bruxelles
« Perdre » est très éprouvant émotionnellement, en fonction de l’importance de cette perte. La perte d’un être cher engendre un processus de deuil. Le deuil c’est l’acceptation du chagrin ; apprendre à vivre avec et réussir à le gérer.
L’accompagnement de deuil chez Psychopraticien Bruxelles
Lorsque le processus naturel du deuil, peu importe la raison, est perturbé, un accompagnement dans le processus de deuil peut être nécessaire. Faire face seul devient impossible.
L’accompagnement de Psychopraticien Bruxelles s’applique souvent à “donner une place” à la perte dans la vie de tous les jours. “Donner une place” ne veut pas dire pas être d’accord avec ce qui s’est passé. Cela signifie savoir donner une place dans la vie à la perte et à ses conséquences. Afin d’être à nouveau, à votre rythme, capable de retrouver la joie de vivre.
Quel genre de perte?
Lorsque nous parlons de perte nous pensons souvent au décès d’un être cher. Mais un divorce, le fait de rester sans enfants, ou perdre son emploi après un accident, tout cela peut être très éprouvant. Tellement éprouvant que seul vous n’arriverez pas à vous en sortir. Dans ce cas vous pourrez avoir besoin d’être accompagné.
Les conséquences d’une perte
- Conséquences émotionnelles
Les gens qui sont en deuil peuvent avoir des sentiments de culpabilité, de rage, de chagrin énorme, d’une grande incertitude ou encore des sentiments d’angoisses.
- Conséquences sociales
Une conséquence sociale d’une perte peut être de se retirer, s’enfermer, de ne plus avoir de relations sexuelles. Il se peut aussi que vous vous révoltez et réagissez vis à vis des autres. Ou justement vous devenez très attaché, car vous avez tellement peur de perdre aussi les autres.
- Conséquences physiques
La perte provoque non seulement un grand chagrin et de la confusion mais également de la fatigue. Faire son deuil est un travail énorme et demande énormément d’énergie. Cela explique pourquoi les gens en deuil sont tellement fatigués qu’ils n’arrivent plus à fonctionner. Ils développent souvent des plaintes physiques, comme la perte d’appétit ou les maux au ventre et de tête.
Faire son deuil demande beaucoup de temps et d’énergie. C’est un processus très intense et douloureux. Si tout se passe bien ce processus peut être enrichissant. Est-ce que le temps guérit toutes les plaies? Non, tout au contraire. Le temps en lui même ne les guérit pas. Même si la blessure ne saigne plus, la cicatrice est fragile, elle peut se rouvrir, lors d’un anniversaire, d’une nouvelle perte, d’un passage à vide. Ce qui est important c’est ce que vous faites avec le temps donné.
- Le deuil: un processus en quatre phases
Faire son deuil est une combinaison entre être activement et passivement occupé à l’acceptation d’une perte. A part ressentir passivement la perte, il est important également d’entreprendre activement des choses dans ce processus de deuil.
Le processus de deuil passe en résumé par quatre phases.
1. Accepter la réalité de la perte.
2. Accepter la douleur qui accompagne cette perte.
3. Apprendre à se joindre à l’entourage sans la personne décédée.
4. Donner une nouvelle place à la personne décédée et réapprendre à aimer la vie.